4. Johnny, libre dans ma tête

CRÉATION EN BELGIQUE

Didier Gustin, Eric Bouvron

Mardi 16 et mercredi 17 septembre 2025 à 20H30

La carrière artistique de Didier Gustin touche le fond, jusqu’au jour où Johnny Hallyday lui apparaît pour lui confier une mission hors du commun : organiser un ultime concert au Stade de France. Problème… Johnny n’est plus de ce monde. L’un s’échappe du Paradis, tandis que l’autre vit un véritable enfer.

Cette pièce musicale mêle comédie, imitations et chansons pour raconter une rencontre aussi improbable que onirique : celle d’une amitié posthume entre une légende et un « has been ».

 

Un hommage aussi drôle que poignant. Une mise en scène rythmée et poétique. Chaque chanson, chaque passage est une véritable performance où Gustin transcende son art. 
ACTUANEWS

Un cocktail d’humour et d’imitation dont Didier Gustin a la recette. FRANCE BLEU

Didier Gustin, c’est de la vie, de l’humanité, de la drôlerie, de l’émotion, c’est la voix de Johnny, celle qui vient du cœur, et qui nous va au cœur, ce sont une centaine de voix qu’on connaît, qu’on aime, sur les textes de Johnny, qu’on redécouvre… Qui chante quoi ? C’est un jeu, un hommage, un florilège, clins d’œil, pincements d’âme, danse d’étoiles dans les mirettes… c’est la musique qui nous embarque, la musique qui nous caresse, qui nous claque, qui nous remue, et nos mains, nos pieds, nos voix, dans l’ombre, scandent, chantent, et nos cœurs, nos foutus cœurs orphelins battent de concert. Un concert au Stade de France !  
Vincent Roca.

Beaucoup d'autodérision. C’est pêchu, c’est exigeant.  FRANCE 3

Standing ovation hautement méritée. Entre tendresse, humour et imitations magistrales, l’humoriste nous offre là un incroyable show. FRANCE DIMANCHE

Autodérision ! Très bien écrit. Une mise en scène d’Eric Bouvron toujours dans l’excellence, bien rythmé. RADIO SOLEIL

Une folle épopée farfelue. Grâce à des arrangements subtilement réalisés, les chansons éternelles de Hallyday prennent vie. Les partitions swinguent, groovent à loisir, font redécouvrir les tubes du rockeur sous un nouveau jour. LE PARISIEN

Une histoire pleine de tendresse, d’émotion d’où l’on sort émerveillé, c’est juste incroyable. La voix de Johnny nous va au fond du cœur et l’on se prend au jeu, à battre des mains, des pieds jusqu’à l’unisson (…)
LE REVEIL DU MIDI


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 45 € / 2e catégorie 35 €.
Durée du spectacle : 1h15
À partir de 7 ans

Auteurs Eric Bouvron, Didier Gustin Avec Didier Gustin, Hugo Dessauge (claviers), Jeremy Lainé (percussions), Elie Gaulin (guitares) Création lumière Maximilien Gentelet

ORGANISATION : OUVRIR LES PORTES

8. Clément Viktorovitch : L’ART DE NE PAS DIRE

Un seul en scène jubilatoire sur la manière de (ne pas) dire.

Vendredi 3 et samedi 4 octobre 2025 à 20h30

Dans la continuité de son livre Le Pouvoir Rhétorique, Clément Viktorovitch, docteur en science politique, soucieux de vulgarisation sur France Info, Clique ou Quotidien, apparaît pour la première fois au théâtre dans une fiction grinçante. Il y incarne le conseiller en communication du Président de la République qui, après avoir été brutalement évincé, cherche à se venger. Son arme ? Une conférence, dans laquelle il décide de dévoiler tous les secrets qu’ils ont utilisés pour conquérir le pouvoir…

À travers ce premier seul en scène, Clément Viktorovitch fait plus que transmettre des outils de décryptage : il interroge la place même du discours dans notre vie politique. Quand les mots se voient vidés de leur contenu, quand la communication se résume à un art de ne pas dire, comment se forger encore une opinion ? Reste-t-il seulement possible de débattre ? Et si, ce que nous avons perdu en chemin, c’était tout simplement… le sens même de la démocratie ?

À partir de 14 ans


La Presse en parle

L’acteur analyse la vacuité des discours avec la malice d’un Machiavel à lunettes rondes. Plus qu’un spectacle, il nous offre une conférence d’une grande intelligence sur la manipulation des puissants qui nous rappelle à quel point “les mots sont politiques” et combien, quand ils sont vidés de leur sens, la démocratie est en danger. Brillant.
TÉLÉRAMA TTT

Un salutaire cours d’autodéfense face aux discours qui fragilisent notre démocratie.
LA CROIX

Sémillant et incisif, Viktorovitch a (…) un talent certain pour captiver son auditoire en dépoussiérant avec humour des concepts rhétoriques vieux comme la Grèce antique mais qui n'ont jamais été aussi actuels (…) poussant la réflexion sur la vacuité du débat politique de notre démocratie.
THÉÂTRAL MAGAZINE

L’Art de ne pas dire convainc par son didactisme vif (…) (il) prolonge avec intelligence et générosité le travail de transmission du politologue, et nous interpelle quant à la violence des énoncés politiques - comme des actes.
THÉÂTRE(S)

Clément Viktorovitch décortique les techniques de communication, qui ont une fâcheuse tendance à vider les mots de leur sens et nuisent, selon lui, à la démocratie. Brillamment écrit et non dépourvu d'humour, ce cours érudit sur l'art de la dissimulation est agrémenté de jeux interactifs auxquels les spectateurs participent sans hésiter, heureux de gamberger sur les pièges de la parole politique.
LE MONDE

Le résultat donne un spectacle de politique-fiction des plus convaincants.
L’ECHO


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 44 €
Durée du spectacle : 1h15

Interprétation : Clément Viktorovitch Ecriture : Ferdinand Barbet et Clément Viktorovitch Mise en scène et Scénographie : Ferdinand Barbet Création lumière : Gautier Devoucoux
Musiques : Hugo Sempé Création costume : Augustin Rolland Production : Gilles Mattana/Agoram Productions  et l’Académie Rhétorique

Organisation : Ouvrir les portes

9. La Perruche

De De Audrey Schebat

Création  - Les vrais-fausses confidences…

Vendredi 10, samedi 11 octobre 2025 à 20h00
Dimanche 12 octobre à 15h30

Dans leur intérieur bourgeois, apprêtés et impatients, un couple attend un autre couple d’amis pour dîner. Ils attendront longtemps, toute la soirée d’ailleurs. S’agit-il d’un accident, d’une séparation, d’un cambriolage ?

Ce « lapin » va pousser les deux protagonistes à se poser les bonnes questions sur leur couple.

Très vite, le duo donne le ton du face à face musclé et mordant qui va se jouer, un face à face questionnant l’humain, et le couple bien sûr.

À la fois subtiles et diaboliques, les vraies-fausses confidences s’enchaînent, puis les révélations intimes et quiproquos absurdes, pour un face à face mordant sur les relations amoureuses.

À partir de 10 ans


Comédie Claude Volter
Avenue des Frères Legrain, 98
1150 Bruxelles

Bus 36 (arrêt Mouettes)  – Trams 7 et 25 (arrêt Boileau + Bus 36 ) - Métro  5 arrêt Thieffry, Petillon + Bus 36

Prix Plurithéâtre : 19,00 €
Durée du spectacle : +/- 2h00 avec entracte

Avec : Manuella Servais et Michel Wright Mise en scène  Alexis Goslain Régie et Lumière Bruno Smit Coproduction avec le théâtre de la Valette

13. La vie rêvée

Kelly Rivière (Irish Story)

Vendredi 28 novembre 2025 à 20h30

Il y a la vie dont on rêve... Et celle que l’on mène. À 45 ans, c’est l’heure du bilan : Kelly Ruisseau n’est ni la danseuse étoile qu’elle rêvait de devenir, ni Liza Minelli. Intermittente du spectacle, elle se laisse porter par les projets, remettant son désir entre les mains des autres, et se confronte au réel : parfois joyeux, souvent dur, toujours inattendu. Le bilan est donc mitigé, mais certains rêves s’accrochent… D’où nous vient notre persévérance ? Dans un seule-en-scène tragicomique, elle remonte à la source de son désir et redonne vie aux gens qu’elle a croisés et aimés sur sa route.

Presse :
Pour la seconde fois, la Franco-irlandaise met en scène et joue son avatar de comédienne lestée d’une famille encombrante. De l’autofiction jubilatoire.
LE FIGARO

Kelly Rivière crée La Vie Rêvée, un seule en scène brillant.
LA TERRASSE

Kelly Rivière reprend ici à nouveau le thème de sa passion pour le spectacle vivant et l’art et la manière de les pratiquer envers et contre tout. Un bel hommage, joliment mis en scène, qu’elle fait vivre avec talent à travers une délicieuse galerie de personnages, comme lors de ses précédents spectacles.
ARTS-CHIPELS

Kelly Rivière aime le théâtre qui aime Kelly Rivière. Sa nouvelle pièce est enchantée, sentimentale et spectaculaire.
L’AUTRE SCÈNE

Kelly Rivière signe une pièce aussi habile qu’intime, un bonbon théâtral qui, en scrutant les doutes d’une comédienne, touche à l’universel : on s’y reconnaitra forcément. D’ailleurs, en sortant, on se surprend à sourire, porté par l’envie de croire que, malgré tout, les rêves et les chemins de traverses nous mènent toujours quelque part.
MANITHEA

Kelly Rivière a l’art de nous toucher et de rendre chacune de ses créations subtiles et émouvantes.
SUR LES PLANCHES

Kelly Rivière renforce votre force de vie avec talent, au fil de scènes d’anthologie où elle trace avec son humour et sa poésie mélancolique une galerie de personnages truculents. Elle n’était pas faite pour la danse ? Sur scène, elle est chez elle. Un bonbon à ne pas rater.
JE N'AI QU'UNE VIE

Kelly Rivière est un vrai caméléon, elle est fabuleuse, danse, chante, s’accompagne au piano et nous captive, ses accents, ses postures et ses mimiques sont saisissants et très évocateurs. Un vrai régal.
CRITIQUE THEATRE CLAU


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : - € / 2e catégorie - €.
Durée du spectacle : 1h20

Texte, mise en scène et interprétation : Kelly Rivière Collaboration à l’écriture et à la dramaturgie : David Jungman Collaboration à la mise en scène : Maïa Sandoz
Regards complices : Jalie Barcilon et Sarah Siré
Création lumière
Laurent Schneegans Scénographie : Estelle Gautier Création sonore : Vincent Hulot Costumes : Elisabeth Cerqueira Coaching vocal : Jeanne-Sarah Deledicq
Collaboration chorégraphique : Gilles Nicolas
Régie générale : Frédéric Evrard

16. Love, Love, Love (sur Barbara Cart)

16. Love, Love, Love (sur Barbara Cart)

« Une seule chose est certaine : toute vérité n’est pas bonne à ne pas dire… À moins que ce ne soit l’inverse.”

Dans la rue, Alice a surpris le mari d’une de ses amies avec une autre femme et se trouve confrontée à ce dilemme entêtant : faut-il lui dire ce qu’elle a vu ? Paul, son mari, tente de la convaincre qu’elle doit absolument lui cacher la vérité. Il fait ainsi l’éloge du mensonge… Est-ce seulement pour défendre son ami ? Ou a-t-il lui aussi des choses à cacher ? À moins que ce ne soit elle qui avance masquée ? Le théâtre de Florian Zeller est une invitation au voyage en eaux troubles. Traversée par un doute fondamental et permanent, l’oeuvre déjà très riche de l’auteur, par-delà la variété de ses tonalités, de ses thèmes et de ses situations, opère une véritable dissolution de la vérité. C’est un théâtre qui se joue de nous et de nos certitudes, en particulier celles qui se nichent au plus profond de nos êtres et qui ont trait, de manière générale, au sentiment amoureux.

« Le Mensonge » joue avec toutes les armes de la comédie pour mieux nous égarer, avec une efficacité particulièrement désarmante.

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18. Denise Jardinière vous invite chez elle

Les spectateurs sont conviés à une mystérieuse soirée chez Denise Jardinière mais ils ignorent tout de leur hôte.

Prix de la Presse et Prix du Public du Festival de théâtre de Solliès-Pont- Création à Bruxelles

Vendredi 19 décembre 2025 à 20h30

Plus de 500 représentations et des milliers de spectateurs qui gardent précieusement le secret de ce qui se passe chez Denise Jardinière ! Et vous, oserez-vous la rencontrer ? Venez vivre une expérience désopilante sans équivalent au théâtre !

C’est la gouvernante aux rituels surprenants qui vous accueillera dans la  demeure mais rien ne se passera comme prévu avant l’arrivée de la maîtresse de maison. 

Les péripéties dont vous serez témoin vous rendront petit à petit complices du personnage et, de surprise en surprise, l’histoire se tissera jusqu’au dénouement final. 

Ce seul en scène drôlissime qui pourrait rappeler l’univers fantasque, délirant et touchant d’Elie Kakou.  C’est une aventure immersive destinée à tous les publics !
À partir de 10 ans

Presse :
Une expérience totalement inédite
SORTIR À PARIS

Un comédien hors du commun !
À NOUS PARIS

Génial !
LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ

Incroyable !
SORTIR À PARIS

Une performance artistique
BFM TV

La salle est morte de rire
FRANCE 3

Une pépite !
À NOUS PARIS

Préparez-vous à rire !
FRANCE CULTURE

Une expérience jubilatoire !
LA VOIX DU NORD

Une perle rare !
VOSGES MATIN


Espace Lumen
Chaussée de Boondael 36
1050 Ixelles

Bus : 59 et 71, Tram: 81 : stations Flagey et Levure


Prix Plurithéâtre : - € (au lieu de - €)
Durée du spectacle : 1h15

Texte, mise en scène et interprétation : Thibaut Boidin Production Birdy Prod Avec : Thibaut Boidin

24. Exit

d’après le documentaire de Fernand Melgar

Entre la vie et la mort, voici un spectacle qui cultive l’art de la sortie.

Jeudi 22 janvier 2026 à 20h30

La Suisse est le premier pays au monde où des associations telles qu’Exit, créée en 1982, proposent en toute légalité une assistance au suicide pour les personnes en fin de vie.

Des bénévoles accompagnent malades et handicapés vers une issue qu’ils estiment plus digne. Ils nous montrent que choisir sa mort est certainement notre ultime liberté.

L’histoire ne se déroule pas en France puisqu’y « donner la mort » est interdit. Seule est autorisée, pour les patients atteints d’une maladie grave et incurable, une sédation profonde et continue, qui permet d’éviter autant de souffrance que possible avant la mort. « Autant de souffrance que possible », c’est le seul choix proposé aux malades. Décider de sa propre mort dans ces circonstances est impossible.

Explorons les coulisses de cette association qui détient une potion magique, celle de l’auto- délivrance et de la liberté.

Jack-Lyne, Manu, Laurent, Docteur Jean et Sophie sont accompagnateurs-bénévoles. Ils sont les héros du quotidien de nombreux malades, dont Michelle, atteinte de sclérose en plaques, et bientôt paralysée. Ils regardent la mort en face, mais qui sont-ils vraiment ? Quelles sont leurs motivations

Nous suivrons les aidants dans leurs réunions, leurs permanences téléphoniques, leur humanité, leurs randonnées, leur altruisme, leurs prises de conscience, leur épuisement, leurs croyances et leurs doutes… mais avec une certaine philosophie.

De la prise de contact jusqu’à la mort, ces anti-héros essaient d’accompagner, avec leurs propres limites, les malades et les handicapés vers l’issue de secours.

Il s’agit ici d’explorer l’ambiguïté de notre propre rapport à la mort, à la fois crainte et désirée, d’explorer les tréfonds de ce qu’on appelle « fin de vie », les endroits qui frottent avec l’absurde, la détermination, la poésie.

À partir de 14 ans

Presse :
Il s’agit ici d’explorer l’ambiguïté de notre propre rapport à la mort, à la fois crainte et désirée, d’explorer les tréfonds de ce qu’on appelle « fin de vie », les endroits qui frottent avec l’absurde, la détermination, la poésie. Une merveille de théâtre.
La Terrasse

Exit n’est pas un spectacle banal, mais un rendez-vous théâtral à haute teneur sentimentale.
L’Humanité

Voilà un spectacle bienvenu que le public accueille avec enthousiasme.
Le Canard enchaîné

Ce spectacle explore avec efficacité, humour et sans pathos surtout différents parcours de fin de vie. (les comédiens) y sont bouleversants. À voir !
Télérama

Mise en scène ciselée, décors ad hoc et jeux précis, troublants, (EXIT) est une belle réussite : un coup de cœur.
L’oeil d’Olivier 


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 32 € / 2e catégorie 28 €.
Durée du spectacle : 1h25

D’après : le documentaire Fernand Melgar Adaptation : Karine Dubernet et Benjamin Gauthier Mise en scène : Charles Templon Avec : Philippe Awat, Suzanne de Baecque en alternance avec Lucie Gallo, Marie-Sohna Condé, Nanou Garcia et Benjamin Gauthier Assistant à la mise en scène : Alexandre Paradis Lumières : Loris Gemignani Régie Générale : Thomas Guiral Costumes : Alma Bousquet et Charles Templon Son : Camille Vitté Scénographie : Charles Templon, Caroline Decroix et Camille Perrotin Construction : Atelier Omnicolore Photos : Audoin Desforges

25. Jean Zay, l'homme complet

D’après Souvenirs et solitude de Jean Zay

Création à Bruxelles

Du jeudi 5 au vendredi 6 février 2026 à 20h30

Après un simulacre de procès, Jean Zay, ministre de l’Éducation nationale et des Beaux- Arts du Front Populaire, radical de gauche, franc-maçon et cible des antisémites, est condamné par le gouvernement de Pétain à la déportation. Incarcéré à la prison de Riom, il sera assassiné par la milice française le 20 juin 1944.

La voix qui se fait entendre dans son Journal de captivité est à ce point sensible et incarnée, qu’elle nous permet un retour dans le temps d’une saisissante netteté, et nous offre un éclairage précieux sur son action visionnaire : il aura réformé l’Éducation, créé le CNRS, le Musée de l’Homme, préparé le premier Festival de Cannes, organisé l’Exposition universelle de 1937…

Éclairage aussi sur le tragique de son destin, celui d’un homme en lutte contre l’anéantissement moral, un humaniste au «cœur ferme», n’ayant d’autre horizon que le bien public, le souci de la vérité.

Une formidable leçon de présence au monde.

Il repose désormais au Panthéon.

À partir de 13 ans


Presse :
Jean Zay, l’homme complet : Le Résistant et réformateur de la Culture ressuscité avec passion
France Info Culture

L’interprétation de Xavier Béja est bouleversante. Ce spectacle indispensable offre au rêve humaniste de Jean Zay de ne pas terminer, comme son cadavre, oublié au fond de la crevasse du Puits-du-Diable.
La Terrasse

Xavier Béja attrape son public. Comédien caméléon, il nous fait partager la force du récit, incarne un Jean Zay attachant à la personnalité exceptionnelle. Son interprétation et la mise en scène aiguisée opèrent la légère déréalisation propre aux merveilleuses fictions. Une pièce incontournable.
Toute la culture

Un texte fort, très imagé qui, dès le début de la pièce, met le spectateur en parfaite osmose et empathie avec le personnage. Coup de cœur pour cette pièce historique bouleversante.
La Provence

L’impressionnant Xavier Béja transforme le plateau en chambre d’échos des tourments d’un corps diminué et d’une conscience aux idéaux inébranlables.
Marianne

Tout est ici délicatesse et hommage
LICRA

Xavier Béja incarne magnifiquement un Jean Zay sensible, attachant, tout en soif de vie et de liberté. (…) l’interprète de ce témoignage écrit par Jean Zay en prison, offre un éclairage précieux sur le tragique destin d’un homme en lutte contre l’anéantissement moral. (...) Une formidable leçon de présence au monde.
Le Dauphiné libéré

J’ai aimé découvrir l’histoire de cet homme d’envergure pris entre quatre murs et cultivant en dépit de tout son amour de la vie. De très beaux moments, un texte tenu et une partition d’acteur sensible sans pathos.
France Inter


Centre Communautaire Laïc Juif
Rue de l’Hôtel des Monnaies, 52

Métro : 2 et 6 - Hôtel des Monnaies

Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : -€ / 2e catégorie - €.
Durée du spectacle : 1h15

Ecriture : D’après Souvenirs et solitude de Jean Zay Adaptation : de Xavier Béja Mise en scène :Michel Cochet Interprète :  Xavier Béja Collaboration artistique (archives visuelles) : Sylvie Gravagna Décor, Costumes : Philippe Varache Vidéo Dominique Aru Lumières : Charly Thicot Création musicale : Alvaro Bello Régie : Thomas Deshayes Production : Théâtre en Fusion

27. Canopée

Un concert qui ne se passe pas tout à fait comme prévu

Mercredi 4 mars 2026 à 20h30

Si tout est musique dans ce spectacle, il ne s’agit pourtant pas vraiment d’un concert électro.
One man show, alors ? Littéralement, ça y ressemble.

Numéro de cirque théâtralisé ? Boris Vigneron est acteur et acrobate, alors…

Ce spectacle inclassable met en scène Norenjiv, musicien chanteur dans son concept électro…

Seulement lorsque ses machines lui font défaut, le show vacille, c'est le dépouillement progressif. Le masque tombe, mais au cœur du malaise qui s’installe, naît une relation plus intime avec le public, où l’homme simple se dévoile.

Et quand le spectacle reprend, c’est autour de l’accident qu’il se joue, épluchant encore, après le costume, celui-là même qui le portait pour ne laisser bientôt sur scène que l’animal originel…


Presse :
Un spectacle musical, drôle et inclassable. Après avoir fasciné et dérouté, Boris Vigneron émeut et fait réfléchir.
Le Figaro

Un (quasi) seul en scène extraordinaire…qui impressionne par le talent déployé par son auteur, et époustoufle par sa trame 
Marianne

L’acrobate révèle son brio et sa souplesse, dans une poésie jouissive. Une bête de scène.
L'Officiel des spectacles

​À couper le souffle ! Un bel éloge de la réconciliation avec la nature.
La Terrasse 

​Un spectacle hybride qui témoigne de la diversité artistique de Boris Vigneron, qui se mue en acteur, acrobate, chanteur, musicien et humoriste.
La Fringale Culturelle

Devant ce spectacle déglingué, on passe par plusieurs phases : de l'incompréhension à l'admiration. Un vrai imaginaire, rare et fraternel. Froggy's Delight

C’est jubilatoire et loufoque à souhait. Talentueux et généreux en diable.
Tatouvu

Humour, talent et discours construit sur l'écologie sont les 3 piliers de ce show foncièrement original. Un objet théâtral non identifié proprement fascinant.
Sortiz

Quel talent ! Quelle énergie ! Et quelle audace ! Un seul en scène musical, acrobatique et philosophique qui nous fait vivre une expérience forte et inédite.
L'info tout court

Un écosystème à lui seul ! Un spectacle délicieusement insolite. Un artiste hors normes.
Paris Secret

​Un spectacle atypique qui jongle avec humour, autodérision, prestation théâtrale et acrobatie.
Le Travailleur catalan

Un projet atypique, une performance artistique et philosophique.
L'Indépendant

​Une performance insolite et bluffante. Une pépite d'inventivité menée par un artiste audacieux dont le talent est un véritable diamant brut.
L'Oeil de S


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : - € / 2e catégorie - €.
Durée du spectacle : 1h10

De et avec : Boris Vigneron En collaboration avec : Manuel Mazurczack Mise en scène : Patrick de Valette Regard chorégraphique : Sandrine Chaouli Travail zoomorphe : Cyril Casmèze Costume et décor : Micheline N'Dongondo

28. Une rencontre (comme une autre)

De Stephen Temperley

On a retrouvé la Castafiore !

Mercredi 25 septembre 2024 à 20h15

New York 1930. Florence Foster Jenkins, riche héritière américaine, s’improvise soprano colorature et massacre les plus fameux airs d’opéra autant par la fausseté de sa voix que par ses fantaisies rythmiques.

Des années plus tard, au piano d’un club de jazz en vogue, Cosme McMoon, son accompagnateur, nous fait revivre les souvenirs à la fois hilarants et bouleversants des douze années de leur étonnante collaboration et de cette incroyable ascension vers une célébrité dérisoire qui les mènera ensemble jusqu’au prestigieux Carnegie Hall.

Près de 80 ans après sa disparition, la soprano qui chantait divinement faux reste un personnage culte. Elle a inspiré plusieurs spectacles, films (Marguerite et Florence Foster Jenkins avec Meryl Streep) et ses enregistrements sont régulièrement réédités.

À partir de 10 ans

Crédit photos : (c) Paule Thomas


Presse :
Coup de cœur ♥♥♥ Merveilleux bijou de théâtre musical"
Le Figaroscope

"A ne pas manquer ♥♥♥"
Le Pariscope

"Une incroyable histoire vraie, aussi déchirante qu’irrésistiblement cocasse ★★★★"
Le Figaro


-

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 32 € / 2e catégorie 28 €.
Durée du spectacle : 1h20

Avec : Agnès Bove, Cyril Romoli et Eymeric François Adaptation française : Stéphane Laporte, Mise en scène : Agnès Boury, Costumes : Eymeric François, Lumières Laurent Béal

30. Vidéo Club (Comédie Bruxelles)

De Stephen Temperley

On a retrouvé la Castafiore !

Mercredi 25 septembre 2024 à 20h15

New York 1930. Florence Foster Jenkins, riche héritière américaine, s’improvise soprano colorature et massacre les plus fameux airs d’opéra autant par la fausseté de sa voix que par ses fantaisies rythmiques.

Des années plus tard, au piano d’un club de jazz en vogue, Cosme McMoon, son accompagnateur, nous fait revivre les souvenirs à la fois hilarants et bouleversants des douze années de leur étonnante collaboration et de cette incroyable ascension vers une célébrité dérisoire qui les mènera ensemble jusqu’au prestigieux Carnegie Hall.

Près de 80 ans après sa disparition, la soprano qui chantait divinement faux reste un personnage culte. Elle a inspiré plusieurs spectacles, films (Marguerite et Florence Foster Jenkins avec Meryl Streep) et ses enregistrements sont régulièrement réédités.

À partir de 10 ans

Crédit photos : (c) Paule Thomas


Presse :
Coup de cœur ♥♥♥ Merveilleux bijou de théâtre musical"
Le Figaroscope

"A ne pas manquer ♥♥♥"
Le Pariscope

"Une incroyable histoire vraie, aussi déchirante qu’irrésistiblement cocasse ★★★★"
Le Figaro


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 32 € / 2e catégorie 28 €.
Durée du spectacle : 1h20

Avec : Agnès Bove, Cyril Romoli et Eymeric François Adaptation française : Stéphane Laporte, Mise en scène : Agnès Boury, Costumes : Eymeric François, Lumières Laurent Béal

31. Le village de l'Allemand

Le journal des frères Schiller

Comme un combat contre l’oubli, l’amnésie et le négationnisme, pour laisser la place à la transmission de la mémoire.

Le mercredi 25 mars 2026 à 20h30

À l’origine il s’agit d’un roman bouleversant, d’une extrême densité, de l’écrivain algérien Boualem Sansal, publié en 2008 et récompensé par de nombreux prix littéraires. Inspiré d’une histoire vraie, celle d’un lieu surnommé «Le Village de l’Allemand», il raconte l’histoire de Rachel et Malrich, deux frères nés d’une mère algérienne et d’un père allemand.

En 1994, le GIA massacre une partie de la population du bourg d’Aïn Deb, près de Sétif, où vivent leurs parents. Pour les deux fils, le deuil va se doubler d’une douleur bien plus atroce : la révélation de ce que fut leur père, cet Allemand qui jouissait du titre prestigieux de moudjahid...

Explorant avec force le rapport à l’identité, à l’héritage et à la responsabilité, Le Village de l’Allemand pose une question centrale: «Sommes-nous comptables des crimes de nos parents ?»

À partir de 14 ans


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 32 € / 2e catégorie 28 €.
Durée du spectacle : 1h20

Sur une idée originale de : Thierry Auzer Mise en scène : Luca Franceschi Avec : Alexandra Nicolaidis, Yann Ducret, Valérien Moutawe, Nicolas Moisy, Samuel Camus, Lysiane Clément Scénographie : Coline Gaufillet Création lumière-régie : Samuel Bovet Son : Vincent Arnaud Costumes : Angélique Monbeig
Administration & production : Céline Courant

34. Lisa

34. Lisa

« Une seule chose est certaine : toute vérité n’est pas bonne à ne pas dire… À moins que ce ne soit l’inverse.”

Dans la rue, Alice a surpris le mari d’une de ses amies avec une autre femme et se trouve confrontée à ce dilemme entêtant : faut-il lui dire ce qu’elle a vu ? Paul, son mari, tente de la convaincre qu’elle doit absolument lui cacher la vérité. Il fait ainsi l’éloge du mensonge… Est-ce seulement pour défendre son ami ? Ou a-t-il lui aussi des choses à cacher ? À moins que ce ne soit elle qui avance masquée ? Le théâtre de Florian Zeller est une invitation au voyage en eaux troubles. Traversée par un doute fondamental et permanent, l’oeuvre déjà très riche de l’auteur, par-delà la variété de ses tonalités, de ses thèmes et de ses situations, opère une véritable dissolution de la vérité. C’est un théâtre qui se joue de nous et de nos certitudes, en particulier celles qui se nichent au plus profond de nos êtres et qui ont trait, de manière générale, au sentiment amoureux.

« Le Mensonge » joue avec toutes les armes de la comédie pour mieux nous égarer, avec une efficacité particulièrement désarmante.

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37. Le Schpountz - Marcel Pagnol

Quand la farce devient fable, Pagnol rit avec tendresse de nos illusions

Vendredi 17 avril à 20h30

Pour Marcel Pagnol li existait une vérité en habits de fêtes, qui est la vérité des gens qui s'aiment. Il avait l'habitude de dire qu'il était “un menteur de charme, charme sans lequel les choses qu'il raconte ne seraient que ce qu'elles sont”.

L'humanité de son écriture, à l'image de la vie, nous bouleverse.
À travers ses films et ses écrits, Marcel Pagnol a une approche fondamentalement humaine. Il dépeint ses personnages dans toute leur complexité, en montrant à la fois ce qu'ils peuvent avoir de plus tendre, mais aussi de plus cruel. Le Schpountz est sans aucun doute l'oeuvre de Pagnol qui l'illustre le mieux.

Irénée est un modeste garçon épicier travaillant dans la boutique de son oncle qui l'a élevé. Il rêve de devenir vedette de cinéma. Une équipe de cinéastes parisiens passant par là, amusée par les prétentions de ce "Schpountz", lui signe un faux contrat de comédien. Sourd aux avertissements de ses proches, Irénée papier en poche, monte à Paris et se présente au studio.

Ce texte est un hommage au métier d'acteur et plus précisément au rire.
"Le rire est une chose humaine, une vertu qui n'appartient qu'aux Hommes, et que Dieu peut-être leur a donnée pour les consoler d'être intelligents" (Extrait du Schpountz)

À partir de 8 ans


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : - € / 2e catégorie - €.
Durée du spectacle : -

Texte : Marcel Pagnol Adaptation : Arthur Cachia Mise en scène : Delphine Depardieu et Arthur Cachia Avec : Axel Blind, Arthur Cachia, Patrick Chayriguès, Simon Gabillet, Milena Marinelli, Jean-Benoît Souilh Costumes : Marion François Musique : Polérik Rouvière

39. Encore une journée divine (François Cluzet)

François Cluzet de retour sur scène après vingt-cinq ans d'absence

Mis en scène par Emmanuel Noblet

Samedi 9 mai à 20h30 et dimanche 10 mai à 16h00

Thérapeute et essayiste, Robert ne supportait plus de voir ses patients stagner, il a décidé de changer de méthode. Assez de réflexion et d’introspection, place à l’action ! Interné dans un hôpital psychiatrique, il raconte son ambition de changer le monde. Est-il devenu fou ? ou sincèrement radical ? Et qu’est-il arrivé à son frère, récemment disparu en mer ?

Ce spectacle est adapté du roman de Denis Michelis et mis en scène par Emmanuel Noblet, grand habitué des adaptations littéraires au théâtre (Molière du meilleur seul en scène pour Réparer les vivants). 

Entre farce tragique et thriller psychologique, François Cluzet nous offre un solo virtuose mêlant humour et tension, radicalisation et amour des roses.


Presse :
Tout à tour séduisant et manipulateur, il fait de ce thriller un grand moment de théâtre. François Cluzet est magistral dans cette adaptation du roman de Denis Michelis par Emmanuel Noblet.
Le Parisien

François Cluzet, de plus en plus fébrile, nous embarque inexorablement avec lui sans jamais forcer le trait. Magistral.
Le Journal du dimanche


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : - € / 2e catégorie - €.
Durée du spectacle : 1h20

De : Denis Michelis Mise en scène : Emmanuel Noblet Avec : François Cluzet Scénographie : Alain Lagarde Lumières : Dominique Bruguière Costumes : Fanny Brouste Son : Samuel Favart-Mikcha

42. La Vérité

François Cluzet de retour sur scène après vingt-cinq ans d'absence

Mis en scène par Emmanuel Noblet

Samedi 9 mai à 20h30 et dimanche 10 mai à 16h00

Thérapeute et essayiste, Robert ne supportait plus de voir ses patients stagner, il a décidé de changer de méthode. Assez de réflexion et d’introspection, place à l’action ! Interné dans un hôpital psychiatrique, il raconte son ambition de changer le monde. Est-il devenu fou ? ou sincèrement radical ? Et qu’est-il arrivé à son frère, récemment disparu en mer ?

Ce spectacle est adapté du roman de Denis Michelis et mis en scène par Emmanuel Noblet, grand habitué des adaptations littéraires au théâtre (Molière du meilleur seul en scène pour Réparer les vivants). 

Entre farce tragique et thriller psychologique, François Cluzet nous offre un solo virtuose mêlant humour et tension, radicalisation et amour des roses.


Presse :
Tout à tour séduisant et manipulateur, il fait de ce thriller un grand moment de théâtre. François Cluzet est magistral dans cette adaptation du roman de Denis Michelis par Emmanuel Noblet.
Le Parisien

François Cluzet, de plus en plus fébrile, nous embarque inexorablement avec lui sans jamais forcer le trait. Magistral.
Le Journal du dimanche


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : - € / 2e catégorie - €.
Durée du spectacle : 1h20

De : Denis Michelis Mise en scène : Emmanuel Noblet Avec : François Cluzet Scénographie : Alain Lagarde Lumières : Dominique Bruguière Costumes : Fanny Brouste Son : Samuel Favart-Mikcha