4. Johnny, libre dans ma tête

CRÉATION EN BELGIQUE

Didier Gustin, Eric Bouvron

Mardi 16 et mercredi 17 septembre 2025 à 20H15

La carrière artistique de Didier Gustin touche le fond, jusqu’au jour où Johnny Hallyday lui apparaît pour lui confier une mission hors du commun : organiser un ultime concert au Stade de France. Problème… Johnny n’est plus de ce monde. L’un s’échappe du Paradis, tandis que l’autre vit un véritable enfer.

Cette pièce musicale mêle comédie, imitations et chansons pour raconter une rencontre aussi improbable que onirique : celle d’une amitié posthume entre une légende et un « has been ».

 

Un hommage aussi drôle que poignant. Une mise en scène rythmée et poétique. Chaque chanson, chaque passage est une véritable performance où Gustin transcende son art. 
ACTUANEWS

Un cocktail d’humour et d’imitation dont Didier Gustin a la recette. FRANCE BLEU

Didier Gustin, c’est de la vie, de l’humanité, de la drôlerie, de l’émotion, c’est la voix de Johnny, celle qui vient du cœur, et qui nous va au cœur, ce sont une centaine de voix qu’on connaît, qu’on aime, sur les textes de Johnny, qu’on redécouvre… Qui chante quoi ? C’est un jeu, un hommage, un florilège, clins d’œil, pincements d’âme, danse d’étoiles dans les mirettes… c’est la musique qui nous embarque, la musique qui nous caresse, qui nous claque, qui nous remue, et nos mains, nos pieds, nos voix, dans l’ombre, scandent, chantent, et nos cœurs, nos foutus cœurs orphelins battent de concert. Un concert au Stade de France !  
Vincent Roca.

Beaucoup d'autodérision. C’est pêchu, c’est exigeant.  FRANCE 3

Standing ovation hautement méritée. Entre tendresse, humour et imitations magistrales, l’humoriste nous offre là un incroyable show. FRANCE DIMANCHE

Autodérision ! Très bien écrit. Une mise en scène d’Eric Bouvron toujours dans l’excellence, bien rythmé. RADIO SOLEIL

Une folle épopée farfelue. Grâce à des arrangements subtilement réalisés, les chansons éternelles de Hallyday prennent vie. Les partitions swinguent, groovent à loisir, font redécouvrir les tubes du rockeur sous un nouveau jour. LE PARISIEN

Une histoire pleine de tendresse, d’émotion d’où l’on sort émerveillé, c’est juste incroyable. La voix de Johnny nous va au fond du cœur et l’on se prend au jeu, à battre des mains, des pieds jusqu’à l’unisson (…)
LE REVEIL DU MIDI


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 42 € / 2e catégorie 31 €
Tarif jeunes : 1re catégorie : 35€ / 2e catégorie : 26€.
Durée du spectacle : 1h15
À partir de 7 ans

Auteurs Eric Bouvron, Didier Gustin Avec Didier Gustin, Hugo Dessauge (claviers), Jeremy Lainé (percussions), Elie Gaulin (guitares) Création lumière Maximilien Gentelet

Organisation OUVRIR LES PORTES

8. Clément Viktorovitch : L’ART DE NE PAS DIRE

Un seul en scène jubilatoire sur la manière de (ne pas) dire.

Samedi 4 octobre 2025 à 20h15

Dans la continuité de son livre Le Pouvoir Rhétorique, Clément Viktorovitch, docteur en science politique, soucieux de vulgarisation sur France Info, Clique ou Quotidien, apparaît pour la première fois au théâtre dans une fiction grinçante. Il y incarne le conseiller en communication du Président de la République qui, après avoir été brutalement évincé, cherche à se venger.
Son arme ? Une conférence, dans laquelle il décide de dévoiler tous les secrets qu’ils ont utilisés pour conquérir le pouvoir…

À travers ce premier seul en scène, Clément Viktorovitch fait plus que transmettre des outils de décryptage : il interroge la place même du discours dans notre vie politique. Quand les mots se voient vidés de leur contenu, quand la communication se résume à un art de ne pas dire, comment se forger encore une opinion ? Reste-t-il seulement possible de débattre ? Et si, ce que nous avons perdu en chemin, c’était tout simplement… le sens même de la démocratie ?

À partir de 14 ans


La Presse en parle

L’acteur analyse la vacuité des discours avec la malice d’un Machiavel à lunettes rondes. Plus qu’un spectacle, il nous offre une conférence d’une grande intelligence sur la manipulation des puissants qui nous rappelle à quel point “les mots sont politiques” et combien, quand ils sont vidés de leur sens, la démocratie est en danger. Brillant.
TÉLÉRAMA TTT

Un salutaire cours d’autodéfense face aux discours qui fragilisent notre démocratie.
LA CROIX

Sémillant et incisif, Viktorovitch a (…) un talent certain pour captiver son auditoire en dépoussiérant avec humour des concepts rhétoriques vieux comme la Grèce antique mais qui n'ont jamais été aussi actuels (…) poussant la réflexion sur la vacuité du débat politique de notre démocratie.
THÉÂTRAL MAGAZINE

L’Art de ne pas dire convainc par son didactisme vif (…) (il) prolonge avec intelligence et générosité le travail de transmission du politologue, et nous interpelle quant à la violence des énoncés politiques - comme des actes.
THÉÂTRE(S)

Clément Viktorovitch décortique les techniques de communication, qui ont une fâcheuse tendance à vider les mots de leur sens et nuisent, selon lui, à la démocratie. Brillamment écrit et non dépourvu d'humour, ce cours érudit sur l'art de la dissimulation est agrémenté de jeux interactifs auxquels les spectateurs participent sans hésiter, heureux de gamberger sur les pièges de la parole politique.
LE MONDE

Le résultat donne un spectacle de politique-fiction des plus convaincants.
L’ECHO

Crédit photos : Giovanni Cittadini Cesi / Duy-Laurent Tran


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 44 €
Durée du spectacle : 1h15

Interprétation : Clément Viktorovitch Ecriture : Ferdinand Barbet et Clément Viktorovitch Mise en scène et Scénographie : Ferdinand Barbet Création lumière : Gautier Devoucoux
Musiques : Hugo Sempé Création costume : Augustin Rolland Production : Gilles Mattana/Agoram Productions  et l’Académie Rhétorique

Organisation Ouvrir les portes

9. La Perruche

De Audrey Schebat

Création  - Les vrais-fausses confidences…

Vendredi 10, samedi 11 octobre 2025 à 20h00
Dimanche 12 octobre à 15h45

Dans leur intérieur bourgeois, apprêtés et impatients, un couple attend un autre couple d’amis pour dîner. Ils attendront longtemps, toute la soirée d’ailleurs. S’agit-il d’un accident, d’une séparation, d’un cambriolage ?
Ce « lapin » va pousser les deux protagonistes à se poser les bonnes questions sur leur couple. Elle, plutôt naïve, s’interroge sur le sens de sa vie au sein de ce couple partant en désuétude depuis longtemps tandis que lui, plutôt macho et misogyne, refuse de voir la réalité de leur vie conjugale.
Très vite, le duo donne le ton du face à face musclé et mordant qui va se jouer, un face à face questionnant l’humain, et le couple bien sûr.
Peuvent-ils encore continuer à vivre ensemble dans cette routine du quo­tidien ? Existe-t-il encore de l’amour entre eux ? Qui est la perruche dans l’histoire ? Elle ? Et si c’était Lui ?
À la fois subtiles et diaboliques, les vraies-fausses confidences s’enchaînent, puis les révélations intimes et quiproquos absurdes, pour un face à face mordant sur les relations amoureuses.
Réglé comme une horloge suisse, la mise en scène d’Alexis Goslain fait mouche et ne laisse pas une minute de répit aux spectateurs - L’avenir

À partir de 10 ans


Comédie Claude Volter
Avenue des Frères Legrain, 98
1150 Bruxelles

Bus 36 (arrêt Mouettes)  – Trams 7 et 25 (arrêt Boileau + Bus 36 ) - Métro  5 arrêt Thieffry, Petillon + Bus 36

Prix Plurithéâtre 19,00 €
Durée du spectacle 1h20 avec entracte

Avec : Manuella Servais et Michel Wright Mise en scène  Alexis Goslain Régie et Lumière Bruno Smit Coproduction avec le théâtre de la Valette

13. La vie rêvée

Le nouveau spectacle de Kelly Rivière (An Irish Story)

Vendredi 28 novembre 2025 à 20h15

Il y a la vie dont on rêve... Et celle que l’on mène. À 45 ans, c’est l’heure du bilan : Kelly Ruisseau n’est ni la danseuse étoile qu’elle rêvait de devenir, ni Liza Minelli. Intermittente du spectacle, elle se laisse porter par les projets, remettant son désir entre les mains des autres, et se confronte au réel : parfois joyeux, souvent dur, toujours inattendu. Le bilan est donc mitigé, mais certains rêves s’accrochent… D’où nous vient notre persévérance ? Dans un seule-en-scène tragicomique, elle remonte à la source de son désir et redonne vie aux gens qu’elle a croisés et aimés sur sa route.

Presse :
Pour la seconde fois, la Franco-irlandaise met en scène et joue son avatar de comédienne lestée d’une famille encombrante. De l’autofiction jubilatoire.
LE FIGARO

Kelly Rivière crée La Vie Rêvée, un seule en scène brillant.
LA TERRASSE

Kelly Rivière reprend ici à nouveau le thème de sa passion pour le spectacle vivant et l’art et la manière de les pratiquer envers et contre tout. Un bel hommage, joliment mis en scène, qu’elle fait vivre avec talent à travers une délicieuse galerie de personnages, comme lors de ses précédents spectacles.
ARTS-CHIPELS

Kelly Rivière aime le théâtre qui aime Kelly Rivière. Sa nouvelle pièce est enchantée, sentimentale et spectaculaire.
L’AUTRE SCÈNE

Kelly Rivière signe une pièce aussi habile qu’intime, un bonbon théâtral qui, en scrutant les doutes d’une comédienne, touche à l’universel : on s’y reconnaitra forcément. D’ailleurs, en sortant, on se surprend à sourire, porté par l’envie de croire que, malgré tout, les rêves et les chemins de traverses nous mènent toujours quelque part.
MANITHEA

Kelly Rivière a l’art de nous toucher et de rendre chacune de ses créations subtiles et émouvantes.
SUR LES PLANCHES

Kelly Rivière renforce votre force de vie avec talent, au fil de scènes d’anthologie où elle trace avec son humour et sa poésie mélancolique une galerie de personnages truculents. Elle n’était pas faite pour la danse ? Sur scène, elle est chez elle. Un bonbon à ne pas rater.
JE N'AI QU'UNE VIE

Kelly Rivière est un vrai caméléon, elle est fabuleuse, danse, chante, s’accompagne au piano et nous captive, ses accents, ses postures et ses mimiques sont saisissants et très évocateurs. Un vrai régal.
CRITIQUE THEATRE CLAU

Crédit photos : Pauline Le Goff


Centre Culturel d’Uccle
Rue Rouge, 7
1180 Bruxelles

Trams : 55, 91, 92 av. Brugmann
Bus : 37, 38, 41, 43 av. Defré


Prix Plurithéâtre : 1re catégorie : 33 € / 2e catégorie : 28 €
Tarif jeunes : 1re catégorie : 22,50 € / 2e catégorie : 18 €
Durée du spectacle : 1h20

Texte, mise en scène et interprétation Kelly Rivière Collaboration à l’écriture et à la dramaturgie David Jungman Collaboration à la mise en scène Maïa Sandoz Regards complices Jalie Barcilon et Sarah Siré Création lumière Laurent Schneegans Scénographie Estelle Gautier Création sonore Vincent Hulot Costumes Elisabeth Cerqueira Coaching vocal Jeanne-Sarah Deledicq
Collaboration chorégraphique Gilles Nicolas Régie générale Frédéric Evrard

Organisation Ouvrir les portes

16. Love, Love, Love (sur Barbara Cartland)

Création

Jeudi 11, vendredi 12 et samedi 13 décembre 2025 à 20h15

Barbara Cartland, c’est 723 romans, des litres d’eau de rose et un seul objectif : faire battre les cœurs, même en papier. Mais derrière ces love stories, un constat : ses héroïnes sont toutes fauchées, vierges et prêtes à succomber au premier lord ombrageux venu. Pourquoi diable l’amour version Cartland rime-t-il toujours avec patriarcat ?

Sous le regard critique de Myriam Leroy, Emmanuel Dell’Erba et Aurelio Mergola, Marie-Paul Kumps enfile la somptueuse toilette et les faux-cils de la Pink Lady. Et elle ne se contente pas de tourner les pages : elle les plie, elle les froisse, elle les déchiquette... jusqu’à ce que l’origami devienne des confettis.

Sur la scène du TTO, on lui fait sa fête à l’amour, mais version 2025 ! Et quitte à rafraîchir le conte de fées, autant y ajouter quelques uppercuts au sexisme ambiant. Alors, laissez tomber les bluettes et venez voir du love qui claque, qui ose et qui mord les lèvres !

Crédit Photo : Lou Verschueren


Théâtre de la Toison d’Or
Galerie Toison d’Or, 396-398
1050 Bruxelles

Métro (lignes 2 et 6) ou bus (34, 54, 64, 71 , 80) arrêt Porte de Namur

Parking Toison d’Or niveau -3 avec accès direct au TTO via la Galerie Toison d’Or. Prix : après 18 h : 3 € pour 3 heures.


Prix Plurithéâtre : 22 € (au lieu de 29 €)
Durée du spectacle : +/- 1h15

De Myriam Leroy, Aurelio Mergola et Emmanuel Dell’Erba Avec Monia Douieb, Marie-Paule Kumps, Quentin Minon, … Mise en scène Aurelio Mergola et Emmanuel Dell’Erba Costumes Chandra Vellut Scénographie Charly Kleinermann Création lumières Sébastien Mercial et Nicolas Kluge

Production Théâtre de la Toison d’Or

18. Denise Jardinière vous invite chez elle

Les spectateurs sont conviés à une mystérieuse soirée chez Denise Jardinière mais ils ignorent tout de leur hôte.

Prix de la Presse et Prix du Public du Festival de théâtre de Solliès-Pont Création à Bruxelles

Vendredi 19 décembre 2025 à 20h15

Plus de 500 représentations et des milliers de spectateurs qui gardent précieusement le secret de ce qui se passe chez Denise Jardinière ! Et vous, oserez-vous la rencontrer ? Venez vivre une expérience désopilante sans équivalent au théâtre !

C’est la gouvernante aux rituels surprenants qui vous accueillera dans la  demeure mais rien ne se passera comme prévu avant l’arrivée de la maîtresse de maison. 

Les péripéties dont vous serez témoin vous rendront petit à petit complices du personnage et, de surprise en surprise, l’histoire se tissera jusqu’au dénouement final. 

Ce seul en scène drôlissime qui pourrait rappeler l’univers fantasque, délirant et touchant d’Elie Kakou.  C’est une aventure immersive destinée à tous les publics !
À partir de 10 ans

Crédit photos Geoffrey Guillin

Une performance artistique
BFM TV

La salle est morte de rire
FRANCE 3

Une pépite !
À NOUS PARIS

Préparez-vous à rire !
FRANCE CULTURE

Une expérience jubilatoire !
LA VOIX DU NORD

Presse :

Une expérience totalement inédite
SORTIR À PARIS

Un comédien hors du commun !
À NOUS PARIS

Génial !
LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ

Incroyable !
SORTIR À PARIS

Une perle rare !
VOSGES MATIN


Espace Lumen
Chaussée de Boondael 36
1050 Ixelles

Bus : 59 et 71, Tram: 81 : stations Flagey et Levure


Prix Plurithéâtre : 27 € Tarif jeunes : 22,50 €
Durée du spectacle : 1h15

Texte, mise en scène et interprétation : Thibaut Boidin Production Birdy Prod Avec : Thibaut Boidin

Organisation Ouvrir les portes

24. Exit

24. Exit

La Suisse est le premier pays au monde où des associations telles qu’Exit, créée en 1982, proposent en toute légalité une assistance au suicide pour les personnes en fin de vie.

Des bénévoles accompagnent malades et handicapés vers une issue qu’ils estiment plus digne. Ils nous montrent que choisir sa mort est certainement notre ultime liberté.

L’histoire ne se déroule pas en France puisqu’y « donner la mort » est interdit. Seule est autorisée, pour les patients atteints d’une maladie grave et incurable, une sédation profonde et continue, qui permet d’éviter autant de souffrance que possible avant la mort. « Autant de souffrance que possible », c’est le seul choix proposé aux malades. Décider de sa propre mort dans ces circonstances est impossible.

Explorons les coulisses de cette association qui détient une potion magique, celle de l’auto- délivrance et de la liberté.

Jack-Lyne, Manu, Laurent, Docteur Jean et Sophie sont accompagnateurs-bénévoles. Ils sont les héros du quotidien de nombreux malades, dont Michelle, atteinte de sclérose en plaques, et bientôt paralysée. Ils regardent la mort en face, mais qui sont-ils vraiment ? Quelles sont leurs motivations

Nous suivrons les aidants dans leurs réunions, leurs permanences téléphoniques, leur humanité, leurs randonnées, leur altruisme, leurs prises de conscience, leur épuisement, leurs croyances et leurs doutes… mais avec une certaine philosophie.

De la prise de contact jusqu’à la mort, ces anti-héros essaient d’accompagner, avec leurs propres limites, les malades et les handicapés vers l’issue de secours.

Il s’agit ici d’explorer l’ambiguïté de notre propre rapport à la mort, à la fois crainte et désirée, d’explorer les tréfonds de ce qu’on appelle « fin de vie », les endroits qui frottent avec l’absurde, la détermination, la poésie.

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25. Jean Zay, l'homme complet

25. Jean Zay, l'homme complet

près un simulacre de procès, Jean Zay, ministre de l’Éducation nationale et des Beaux- Arts du Front Populaire, radical de gauche, franc-maçon et cible des antisémites, est condamné par le gouvernement de Pétain à la déportation. Incarcéré à la prison de Riom, il sera assassiné par la milice française le 20 juin 1944.

La voix qui se fait entendre dans son Journal de captivité est à ce point sensible et incarnée, qu’elle nous permet un retour dans le temps d’une saisissante netteté, et nous offre un éclairage précieux sur son action visionnaire : il aura réformé l’Éducation, créé le CNRS, le Musée de l’Homme, préparé le premier Festival de Cannes, organisé l’Exposition universelle de 1937…

Éclairage aussi sur le tragique de son destin, celui d’un homme en lutte contre l’anéantissement moral, un humaniste au «cœur ferme», n’ayant d’autre horizon que le bien public, le souci de la vérité.

Une formidable leçon de présence au monde.

Il repose désormais au Panthéon.

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27. Canopée

27. Canopée

Si tout est musique dans ce spectacle, il ne s’agit pourtant pas vraiment d’un concert électro.
One man show, alors ? Littéralement, ça y ressemble.

Numéro de cirque théâtralisé ? Boris Vigneron est acteur et acrobate, alors…

Ce spectacle inclassable met en scène Norenjiv, musicien chanteur dans son concept électro…

Seulement lorsque ses machines lui font défaut, le show vacille, c'est le dépouillement progressif. Le masque tombe, mais au cœur du malaise qui s’installe, naît une relation plus intime avec le public, où l’homme simple se dévoile.

Et quand le spectacle reprend, c’est autour de l’accident qu’il se joue, épluchant encore, après le costume, celui-là même qui le portait pour ne laisser bientôt sur scène que l’animal originel…

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28. Une rencontre (comme une autre)

28. Une rencontre (comme une autre)

«On observe toujours les gens qui s’aiment.»
Une rencontre (comme une autre), c’est avant tout une histoire d’amour, une rencontre provoquée et assumée. Un désir délicieux et irrépressible. Une prise de risque.

Elle a 52 ans. Lui 28. Et au fond, quelle importance.
Mais à leur bulle se frotte le monde et sa fâcheuse tendance à préférer les voies toutes tracées. La désapprobation de l’entourage nous parvient alors par la voix d’un frère, d’une mère, d’une épouse, d’un ami psychologue, ou encore d’un ex-mari.

L’auteur est joueur et choisit de faire incarner tous ces personnages par les deux comédiens, nous faisant ainsi virevolter d’une situation à une autre en un claquement de doigts.
Dominique et Marco se laisseront-ils engloutir par la prévision de leur échec apparemment inévitable ou trouveront-ils la force de déjouer les pronostics ?

Cette pièce nous plonge au cœur d’une rencontre improbable entre une femme qui vit avec ses certitudes depuis longtemps et un jeune homme qui n’accepte que l’instant présent. A travers ce texte sensible et ludique, entre fiction et réalité, l'auteur nous rappelle que parfois une rencontre peut bouleverser toute une vie.

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30. Vidéo Club (Comédie Bruxelles)

30. Vidéo Club (Comédie Bruxelles)

Sébastien Thiery maîtrise l’art du décalé avec finesse et audace

Justine et Jean-Marc, mariés depuis vingt-cinq ans, découvrent qu’une mystérieuse web cam les filme en direct dans leur cuisine. Qui a installé cette caméra et dans quel but ? Depuis quand sont-ils filmés à leur insu ? Tous les jours, ils reçoivent une nouvelle vidéo par email. Des images qui les confrontent à leurs petites médiocrités du quotidien, à leurs mensonges et à leurs trahisons.

Dans cette comédie toute en nuances, Justine et Jean-Marc rivalisent tour à tour de mauvaise foi pour justifier des vérités qui n’auraient jamais dû surgir. Un couple peut-il résister à la transparence totale ?

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